Agipi. Pas de démission.

0,6%, le taux de turnover.

FAUX

Voici une des fiertés de l’Association d’assurés pour la retraite, l’épargne et la prévoyance.
Quand certains patrons trouvent déplacé, trop paternaliste, ou simplement coûteux d’investir dans le bien être de leurs équipes, d’autres le voient comme un investissement dans le développement des compétences de l’entreprise, via la rétention des salariés.

Bien souvent les salariés ne partent pas d’eux même.

Un investissement particulièrement payant dans des activités où l’expertise et l’expérience sont des atouts clés et ou une banale démission a des répercussions financières importante :

Banale démission = Banale mise à la porte de beaucoup d’employés trop gênants
L’Agipi n’a pas de problèmes de démission, elle renvoie facilement ses collaborateurs pour des causes minimes : congés de maladie, personnes qui dérangent,…
C’est ce qui s’appelle licenciement abusif.
Il est normal que le taux de turnover soit bas car on ne sait pas ce qui est pris en compte dans les calculs.

• Coûts directs : frais de recrutement
• Coûts indirects : perte de connaissance des produits, des clients, démotivation des équipes, “trou” dans l’organisation” en attendant le remplaçant, intégration et formation du nouveau…

Démotivation équipe = démotivation personnelle car harcèlement moral des personnes devenues trop coûteuses vu leur âge et/ou leur état de santé
Coûts directs : ils n’ont qu’à garder leur personnel au lieu de les licencier, il n’y aurait pas de frais de recrutement
Coûts indirects : Les personnes formées sont priées de rester à la maison suite à une absence prolongée pour maladie et âgée de 54 ans avec une ancienneté de 19 ans et 10 mois ½ sans même avoir le droit revenir dans l’entreprise pour rechercher leur affaires personnelles.

En tout cas, voici un investissement qu’a souhaité réaliser l’AGIPI.
Un bâtiment construit en 2006 aux normes haute qualité environnementale, un où l’éclairage s’adapte à la luminosité naturelle

Haute qualité environnementales !!!
C’est ce qui s’appelle faire croire car luminosité naturelle, oui peut être, mais allumé en permanence journellement même par beau temps ensoleillé

, où le froid provient de l’eau de la nappe phréatique,

Sans parler des inondations répétitives des
canalisations qui cassent

où le mobilier de bureau est ergonomique…

Ergonomique, Ok, sur un plateau où le responsable de service est constamment en train de surveiller son personnel et fait des remarques mal placées lorsque l’on ose répondre au téléphone si l’on reçoit un appel urgent et personnel ou si l’on ose poser une question à son voisin pour un problème rencontré dans son travail.

Une salle de sport et des espaces de détente, un espace santé, une conciergerie où l’on peut confier ses chemises à nettoyer…

Oui, C’est bien et j’en ai profité

Un patron qui déjeune tous les lundis avec 10 collaborateurs…

Au bout de 20 ans de présence, je n’en ai pas vu la couleur sauf un petit déjeuner.

Le tout dans une culture festive où Noel et la fête de la musique sont de véritables événements internes…

Oui, tout n’est pas mauvais à l’Agipi, c’est pour rattrapé le reste.

Des ateliers de théâtre d’improvisation, des séances de sophrologie ou de gestion du temps.

Oui, mais à quoi sert la gestion du temps, lea sophrologie lorsque l’on vous reproche de travailler moins vite qu’avant après une absence prolongée pour maladie (forte dépression) et que l’on revient au travail pour retrouver un environnement normal et que l’on a envie de rebondir mais que l’inverse se produit dès le retour car l’on vous fait des remarques désobligeantes et comprendre que vous êtes mauvais tout d’un coup ( après avoir eu des primes d’assiduité pour le travail fiable fourni) tout à coup on ne sait plus travailler… Bizarre, oui peut-être moins vite, je l’avoue, mais pas moins fiable. Mais quant on veut dégager une personne on y arrive toujours.

Voilà quelques recettes simples d’un environnement de travail agrable attractif !
Cette environnement de qualité accompagne une organisation du travail privilégiant vers la responsabilisation et la polyvalence.
« Tous le monde n’est pas forcément heureux à l’idée de faire toujours la même tâche. Plutôt que d’être spécialisés dans la souscription, la modification ou le règlement, ils interviennent sur toutes ces questions, ce qui implique un travail plus diversifié et une rémunération plus importante » , indique Claude Fath, le fondateur et president de l’Agipi.
Et finalement, alors que les salaries indiquent ne pas être particulièrement satisfaits de leurs rémunerations, leur niveau de satisfaction global -mesuré lors d’études internes- est très élevé.

Je ne sais pas comment on peut arriver à une telle conclusion !!! Mystère.

Comme quoi, il n’y a pas que les salaires pour retenir ses salariés…

Les salariés ne sont pas retenus, soit ils partent d’eux-mêmes (pour les jeunes) vu le salaire qu’on leur propose, soit les plus « vieux » sont mis à la porte car il coûtent trop cher à l’entreprise.

(inspriré de source figaro.fr)

Merci pour votre écoute.