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Catégorie : Réputation Page 3 of 5

développement durable, responsabilité sociale et environnementale, RSE, gourvernance, fierté d’appartenance, réputation, fierté

Salon de l'environnement et des métiers durables.

Les 17, 18 et 19 juin, au musée de l’Homme à Paris aura lieu la 2ème édition du salon de l’environnement et des métiers durables.

En gros, les métiers durables ce sont ceux qui ne misent pas leur développement sur le « tout pétrole ».

L’objectif de ce salon est de promouvoir les solutions technologies, les innovations et les conseils qui restaurent l’environnement.

Il vise tous ceux qui cherchent des réponses à leurs problématiques environnementales, par exemple :

–  réduire durablement la facture énergétique, traiter les déchets, construire propre, s’adapter à la réglementation environnementale

valoriser les actifs : installations photovoltaïques, valorisation des déchets…

– réduire l’empreinte écologique

– découvrir les nouveaux business models permettant une croissance pérenne : revendre l’électricité verte, consommer moins et produire mieux…

A noter que lors de ce salon, sera décerné le Prix de la jeune entreprise éco-innovante.

Alors si vous avez créé une entreprise autour d’une idée innovante dans le secteur des cleantechs (éco-innovations), et qu’elle a moins de 5 ans, inscrivez-vous ! Car à la clé, il y a une campagne de publicité d’une valeur de 50.000 euros.

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Ikéa équipe les centres Emmaus

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Ikéa aménage gratuitement des espaces d’accueil Emmaüs.

La collaboration entre Ikéa et Emmaüs a commencé il y a quatre ans.

Le premier centre a être équpé de meubles Ikéa est celui de Marseille. Depuis, ce sont 23 centres qui sont équipés.

Les salariés Ikéa sont associés au projet sur la base du volontariat.

En 2008, Ikéa avait consacrée 105 000 euros à Emmaüs (80% de ce montant est du « meuble »), soit 0,00525% de son chiffre d’affaire français.

Ce n’est évidemment pas énorme, mais le symbole est fort et le résultat particulièrement tangible. Comme quoi, les bonnes actions, bien ciblées, ne sont pas forcément onéreuses…

GE. Le bénévolat au coeur de l'entreprise.

GE. Le bénévolat au coeur de l'entreprise

Cet article nous est proposé par Claire du ciffop

GE Volunteers est une organisation qui regroupe 53 000 bénévoles de GE à travers le monde et 3 400 en Europe. Le bénévolat et l’esprit de partage font partie intégrante de la philosophie de GE. L’organisation a été créée sous le nom d’Elfun il y a 80 ans.

Les activités des bénévoles sont destinées à améliorer la vie au quotidien des personnes défavorisées. GE Volonteers agit notamment dans les domaines de l’éducation (programmes d’alphabétisation), de la santé (campagnes de don du sang, soutien de fondations spécialisées), de l’aide aux personnes handicapées, de l’environnement, pour ne citer que quelques exemples.

Ces actions permettent également aux bénévoles de partager leurs expériences et d’enrichir le champ de vision des équipes.

Messier-Bugatti. Covoiturage via l'intranet.

Messier-Bugatti.

Article de Marie Rousset, apprentie chez Messier Bugatti et étudiante au ciffop.

Le covoiturage, quand on en parle, tout le monde est pour… ça protège la planète, c’est économique…mais en pratique c’est autre chose !

Il n’est pas si simple de savoir qui habite près de chez soi, qui a une voiture etc.

Chez Messier Bugatti, on a trouvé une solution simple ! Une application lancée à partir de l’intranet simplifie la vie des salariés qui veulent se mettre au covoiturage, elle permet de mettre en relation les offrants et les demandeurs.

Quel monde le web ! Il nous offre tout : un job, des services, des rencontres… et même des chauffeurs !

EADS. Technologie et Développement durable.

EADS

Cet article est proposé et écrit par Eric Lucat, officier de l’EMSTT (Enseignement Militaire Supérieur Scientifique et Technique), en stage chez EADS et étudiant au ciffop.

EADS – leader mondial de l’aéronautique, l’espace et la défense –  travaille depuis octobre 2008 sur le projet « Joint Technology Initiative – JTI  Clean sky Eco-design ». L’objectif de cette initiative financée à 50 % par la Commission Européenne, est de réduire la pollution directe ou indirecte induite par la fabrication et l’utilisation des avions produits par le groupe EADS. Engagée pour 7 ans, l’équipe d’EADS d’Innovation Works (EADS IW) – composée de chercheurs, d’ingénieurs, et de techniciens – concentre ses travaux de recherche et d’innovation sur les matériaux et les procédés de fabrication mais également sur l’analyse du cycle de vie des produits.

Durant la phase appelée «  analyse globale », chaque étape du cycle de vie de l’avion- de sa conception à sa destruction – est étudiée. Cette analyse permet d’envisager l’utilisation de bio-matériaux pour l’aménagement des cabines, la découverte de moyens de production éco-efficaces et la réduction significative des déchets polluants non recyclables.

Mais, les efforts d’EADS en matière d’environnement et de développement durable ne se limitent pas à ce projet.

Dans le cadre de sa nouvelle direction Energy & Propulsion, le Groupe EADS mène aussi des travaux de recherche et de développement sur les futurs moyens de propulsion et les futurs carburants (utilisation d’huiles végétales et de biomasse). Par le biais d’une collaboration entre Airbus et l’INSA de Toulouse des recherches sur des carburants de troisième génération sont également en cours ; ces travaux permettraient à terme, de produire du carburant à partir de levures ou de bactéries.

Parallèlement à ces recherches, d’importants investissements ont été réalisés afin de diminuer la pollution des sites de production du groupe EADS. De plus, des sensibilisations au développement durable et des formations sur le recyclage des déchets sont régulièrement suivies par le personnel d’Innovation Works.

De fait, avec l’ensemble de ces actions, EADS se positionne comme le précurseur d’un des enjeux majeurs du XXIème siècle : produire des avions à la pointe des technologies respectant au mieux l’environnement.

BNP Paribas. Vraiment interessée par le Développement Durable ?

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La BNP Paribas possède 189 filiales offshore.

Quand une entreprise (ou un particulier) a des filiales (ou un compte) offshore, ça veut dire qu’elle fait de l’optimisation fiscale.

En général, c’est même plutôt de l’évasion.

Dans les 2 cas, elle refuse de payer les impôts ou les taxes du pays dans lequel elle exerce son activité.

Or à quoi servent les impôts ?

Ils financent les missions de l’État -donc l’intérêt l’intérêt général– ainsi que le développement collectif et la pérennité de la société.

Quel rapport avec le Développement Durable ?

Et bien c’est simple. La définition du Développement Durable est est la suivante :

« …Les entreprises, les pouvoirs publics et la société civile devront travailler main dans la main afin de réconcilier trois mondes qui se sont longtemps ignorés : l’économie, l’écologie et le social. À long terme, il n’y aura pas de développement possible s’il n’est pas économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement tolérable. »

Je trouve particulièrement contradictoire le fait d’afficher et se targuer d’une politique de Développement Durable volontariste et refuser dans le même temps une grosse partie de sa responsabilité sociale.

C’est bien de faire des partenariats officiels avec les Nations Unies, réduire l’impact environnemental des supercalculateurs et sponsoriser les déplacement en Vélo à Taiwan…

Mais quand au sommet de la direction, la gouvernance crée le paradoxe, il devient difficile d’y croire.

Berger-Levrault. Lancement d'une Fondation dédiée au développement des services public

Berger-Levrault annonce la création de sa Fondation dont la première réunion du Comité exécutif a eu lieu le 31 mars dernier à la Société des Gens de Lettre.

La Fondation Berger-Levrault s’est fixée pour mission le soutien de projets éducatifs et culturels, de recherche ou de préservation du patrimoine matériel ou immatériel des services publics. Avec un objectif : favoriser l’accession à la connaissance et aux métiers de la fonction publique.

« Avec sa Fondation, Berger-Levrault va pouvoir venir en aide à des projets culturels et éducatifs qui lui tiennent à coeur », déclare Pierre-Marie Lehucher, Directeur général de Berger-Levrault. « Cette Fondation va permettre à de nombreux projets de voir le jour dans des petites collectivités ou établissements publics, d’agir là où on en a besoin, là où les financements manquent. »

La Fondation Berger-Levrault va par exemple participer, par le biais d’une bourse, à la formation de jeunes à l’un des métiers de la Fonction Publique, soutenir un voyage organisé par un enseignant souhaitant faire découvrir à ses élèves une administration ou une collectivité publique, participer à l’organisation d’une exposition autour du patrimoine public, ou encore collaborer à l’édition d’un ouvrage dédié à un bien public…

Le Comité exécutif de la Fondation Berger-Levrault se compose de 7 administrateurs, 4 membres du personnel Berger-Levrault et 3 personnalités indépendantes, choisies en raison de leur compétence et de leur valeur morale : Élisabeth Beau, Directrice du Centre Hospitalier de Saint Denis (93) ; Georges-Daniel Marillia, Conseiller d’État honoraire ; Bernard Staub, Maire honoraire de La Varenne (49).

Le Comité exécutif a élu Wilfrid de Virieu, Président du Conseil d’ Administration de Berger-Levrault, au poste de Président. Laurent Touchagues assume les responsabilités de Délégué Général de la Fondation.

Renault. Vive le covoiturage !

Rien de plus logique qu’un constructeur automobile incite à moins utiliser sa voiture !

C’est pourtant ce que Renault fait en promouvant le covoiturage de ses salariés.

Les 60 000 employés de Renault en France peuvent se connecter sur le site Intranet du Groupe et entrer en contact avec des collègues effectuant le même trajet qu’eux et acceptant de partager leur voiture.

Depuis le 1er janvier, 2 420 trajets sont proposés.

Les effets sont bénéfiques pour l’environnement, grâce à une moindre consommation de CO2, mais également pour la cohésion des équipes et la qualité des relations entre collaborateurs.

En espérant que cela contribue à relaxer les salariés apparemment si stressés d’un Technocentre très critiqué sur la qualité des conditions de travail depuis le lancement du fameux Plan 2009.

BNP Paribas. Soutien à l'entreprenariat social.

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Le pôle assurance vie et dommage de la BNP Paribas met ses ressources et ses capacités des conseil au service de 6 entrepreneurs sociaux appelés « Fellows Ashoka » pour les accompagner pendant 3 ans à chaque étape de leur projet.

Ashoka (Association Mondiale pour l’Innovaton Sociale et l’Esprit d’Entreprise à but non lucratif) est le partenaire de la BNP. L’association sélectionne, finance et soutien les entrepreneurs sociaux porteurs d’idées innovantes.

Les entrepreneurs sociaux sélectionnés bénéficient de l’appui des cadres de la BNP Paribas Assurance et d’une bourse équivalente à un salaire moyen pendant 3 ans. Par exemple, on trouve parmi les sélectionnés un centre d’accueil d’enfants défavorisés au Chili et une société de technologie de la communication adaptée aux handicapés.

Cette initiative n’est pas simplement du « mécénat de compétences », car la BNP y a un intérêt : faire de la veille en innovation sociale et mieux comprendre ainsi les marchés de demain.

Le site dédié me plait dès la page d’accueil.  Je partage la vision exprimée par Eric Lombard, PDG de la BNP Paribas Assurance :

 » L’entreprise ne se définit plus uniquement par la seule notion de profit. Les parties prenantes attendent d’une entreprise qu’elle garantisse son développement économique dans la durée tout en replaçant l’humain au premier plan« .

Malheureusement, plus loin sur le site, on ne trouve pas d’informations concrètes : les cadres participants sont ils dédiés à temps plein à une mission ? Combien de temps dure une mission en moyenne ? Les participants conservent ils leur poste et leur salaire ?

Alors si vous faites partie de cette aventure, votre témoignage nous intéresse !

Source « Enjeux » Décembre 2008

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Carrefour. Les cadres roulent au Vert.

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Chez Carrefour, 550 cadres de direction ont droit à une voiture de « direction ». Le choix du constructeur et du modèle est laissé libre. Mais il y a une condition : le taux d’émission e CO2 de la voiture ne doit pas dépasser 200g/km et qu’elle soit équipée d’un filtre à particule.

Les salariés qui souhaitent acheter une voiture hybride bénéficient d’un budget supplémentaire de 2 500 euros ou bien d’un congé solidaire.

Et ceux qui ne souhaitent pas de véhicule de fonction, reçoivent une alocation de 7 000 euros brut chaque année. Ou des avoir chez des loueurs de voiture.

Et cerise sur le gâteau, les bénéficiaires de voiture de direction peuvent aller faire un stage « éco-conduite » d’une journée.

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