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Catégorie : 4. Conseils « Emploi » Page 8 of 9

Conseils pour rechercher un emploi, CV, lettre de motivation, entretiens

Travailler à Singapour.

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A Singapour, le taux de chômage est à 2 %.

La pétrochimie, la construction, la pharmacie, les biotechnologies sont porteuses.

Mais surtout, la place financière, en plein boum, attire des banquiers privés, des gestionnnaires de risque…

Le ministère du travail de micro-Etat asiatique (www.mom.gov.sg) publie une liste des métiers recherchés, de chimiste à architecte naval en passant par concepteur de jeu vidéo.

Car exercer un de ces métiers facilite l’obtention d’un visa.

2 types de visas :

  • l’employment pass, le plus répandu chez les expatriés français est plutôt conçu pour les profils qualifiés.
  • l’employment pass eligibility certificate permet lui, de rester sur place jusqu’à une année, avant de trouver un travail.

En moyenne, à Singapour, un français met environ 3 mois à trouver un emploi.

Côté salaire, par exemple, un ingénieur chimiste peut gagner de 1 600 à 2 200 dollars singapouriens (750 à 1 050 euros) pour un premier poste; un technicien-ingénieur aéronotique gagera quant à lui 3 000 à 3 500 dollars singapouriens.

Source : www.lexpansion.com

Jeunes diplômés. Salaires en hausse pour la rentrée !

Tout dépend de votre diplôme et de la cote votre école.

Les chiffres annoncés sont en euros, il s’agit de salaires bruts annuels (hors primes et avantages).

Bien sûr, ce sont des moyennes, il y a des secteurs d’activité et des métiers plus rémunérateurs que d’autres ! Généralement, les grand groupes paient mieux que les PME.

Selon Mercer, les rémunérations sont de cet ordre :

– « grandes écoles » type HEC (…) entre 35 300 et 35800 

– écoles de catégorie 2 type Reims Management School (…) entre 32 300 et 32 500

– écoles de catégorie 3 type ESC Pau (…) entre 30 000 et 32 500

– pour un bac + 4 entre 28 000 et 30 000

– pour un bac + 3 entre 24 000 et 26 000

– Les diplômés de Master en université peuvent prétendre à 29 000 minimum. Ceux qui sortent de Masters cotés ( Dauphine, Assas ou certains IAE) peuvent prétendre à des salaires équivalents à ceux des écoles de catégorie 1 ou 2.

L’écart entre grandes écoles et université se creuse.

Source le figaro.fr

25 questions. Pour préparer son entretien de recrutement.

Vous préparez un entretien de recrutement ?

D’après Bob Rosner, célèbre chroniqueur RH aux US, voici les 25 questions que devraient vous poser les recruteurs.

1- Pourquoi êtes-vous là ?

2- Si vous aviez un seul mot pour vous décrire, lequel serait-ce ?

3- Quand avez-vous échoué ? Décrivez ce qui s’est passé et ce que vous avez appris.

4- De quelle réalisation êtes-vous le plus fier ?

5- Quels traits de caractère chez vos collègues vous ennuient le plus ? Quels sont ceux que vous appréciez le plus ?

6- Comment tirez-vous profit de vos forces ? Comment compensez-vous vos faiblesses ?

7- Si je demandais à votre patron actuel quelle est votre plus grande force, que me répondrait-il ?

8- Si je lui demandais ce qui le rend fou chez vous, que me dirait-il alors ?

9- Quelle est la chose que vous aimeriez faire mieux ? Comment comptez-vous vous améliorer ?

10- En travaillant avec vos collègues, quelle chose avez-vous changée chez vous pour être plus efficace ?

11- Selon vous, quelles sont les principales qualités des gens qui réussissent ? comment vous évaluez-vous dans ces domaines ?

12- Comment prenez-vous des décisions ?

13- Si vous ne pouviez demander conseil qu’à une seule personne, laquelle serait-ce ? Pourquoi ?

14- Parlez-moi d’une situation au travail où vous êtes resté totalement honnête malgré un risque d’échec.

15- Vous prenez une décision. Que faites-vous si l’un de vos collègues la remet en question ?

16- Décrivez-moi une situation de crise à laquelle vous avez dû faire face au travail ? Quel a été votre rôle ? Comment l’avez-vous résolue ? Quels ont été les résultats ?

17- Décrivez-moi une situation où vous avez dû faire un travail pour lequel vous n’étiez pas formé ? Comment vous en êtes-vous sorti ?

18- Décrivez-moi le dirigeant qui tirerait le meilleur de vous ?

19- Qu’est-ce qui vous ferait aimer venir ici chaque jour ?

20- Que faites-vous si la direction prend une décision que vous n’approuvez pas ?

21- Dans notre opportunité, qu’est-ce qui vous attire le plus ?

22- Quelle est votre plus grande crainte face à cette opportunité ?

23- Si vous avez cet emploi, comment pourriez-vous me faire perdre de l’argent ?

24- Supposons que vous veniez travailler ici. Dans un an, vous rentrez chez vous un vendredi soir en vous disant qu’accepter cet emploi a été la meilleure décision que vous ayez jamais prise. Que s’est-il passé durant cette année pour que vous ressentiez cela ?

25- Y-a-t-il une question que je ne vous ai pas posée et que j’aurais dû vous poser ?

Travailler en Argentine.

drapeau argentine

Les problèmes de recrutement touchent 36 % des employeurs argentins, un record sur le continent américain. En première ligne les emplois de technicien, d’ingénieur ou de travailleur manuel qualifié. « De nombreux argentins sont partis après la crise de 2002 » explique Luc Girard, responsable emploi de la chambre de commerce de Buenos Aires. « Résultat, beaucoup de secteurs sont en pénurie de main d’oeuvre: l’agroalimentaire, les télécommunication, le tourisme, l’énergie, l’automobile, la pharmacie… ».

Question salaire « avec 3500 pesos argentins par mois (environ 720 euros), on vit à Buenos Aires comme avec 3500 euros à Paris », juge Luc Girard. L’Argentine est en pleine reprise économique mais ne vous méprenez pas, en ce qui concerne les salaires, ce n’est pas encore la panacée.

La France a signé avec l’Argentine, un accord d’échange de jeunes professionnels. Cet accord permet à 200 jeunes français âgés de 18 à 35 ans de s’expatrier en Argentine et d’y exercer leur profession durant un an (une prolongation de 6 mois est possible à condition de rester avec le même employeur). Pour adresser un candidature : www. emploi-international.org

La Chambre de Commerce et d’Industrie franco-argentine (CCIFA) vous aide et vous guide dans vos démarches. Elle dispose d’un pôle Emploi et Formation qui met en relation les candidats à la recherche d’un emploi et les entreprises françaises ou argentines qui recrutent. La CCIFA comptabilise plus de 300 entreprises membres. Certains journaux publient des offres d’emploi directement accessibles depuis leurs sites : www.empleos.clarin.com, http://clasificados.lanacio.com.ar. Vous pouvez également consulter les offres d’emploi de sociétés d’intérim comme www.manpower.com.ar ou www.adecco.com.ar.

Enfin, nous vous conseillons un bon site d’emploi argentin, www.opcionempleo.com.ar

Detenir un visa de travail est en principe obligatoire, mais, dans les faits, la plupart des gens prennent un visa de tourisme puis, s’ils trouvent un travail, sollicitent un visa plus long. Il faut s’attendre à ce que les démarches administratives soient lentes et périlleuses. Bon courage ! Partagez vos expériences avec nous !

Un café ou un emploi ?

Vous êtes jeune diplômé ?

Vous n’arrivez pas à décrocher un emploi ?

Allez donc prendre un café !!! Au Café de l’Avenir…

Si vous avez minimum Bac+2, ce « café » un peu spécial vous met en relation avec des bénévoles d’entreprises (100).

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Concrètement, votre nouveau coach, salarié d’une entreprise partenaire, analysera votre parcours, vos difficultés, et construira avec vous une véritable stratégie de recherche d’emploi.

C’est la grande mode des événéments de ce type, qui visent à rapprocher les jeunes de l’entreprise. Très Bien. Une de plus me direz-vous…

Et pourtant, cette initiative présente de véritables nouveautés :

– Votre coach a une obligation de résultats. Il s’engage sur votre suivi jusqu’à ce que vous ayiez trouvé un job.

– Les bénévoles viennent aussi bien de PME que de grands groupes ( Bouygues, Decathlon, L’Oréal, Fnac, SFR, BRED…) et presque tous les secteurs sont représentés. Vous avez donc accès à une information exhaustive et crédible sur le monde de l’entreprise.

– L’approche du Café de l’Avenir est de vous « redonner confiance ». Et pour qui connait le dicton : « Confiance retrouvée, job à la clef ! », on ne peut que s’en réjouir…

Café de L’Avenir jette ainsi un pont entre un système éducatif à 2 vitesses, et le monde professionnel.

Car il y a le système éducatif qui prépare à la réalité de l’entreprise en l’intégrant aux cursus de formation (stages, rencontres, préparation à l’entretien…). Et celui qui feint de l’ignorer -en tête duquel figurent glorieusement nos belles universités…

Café de l’Avenir s’adresse à ceux du second monde…

Nous saluons donc cette belle initiative « d’utilité publique« .

Et croisons les doigts pour que les professeurs prennent la main sur ce sujet et acceptent avec pragmatisme, que l’intégration professionnelle ne peut se faire sans eux !

Pour plus s’information, allez sur www.cafedelavenir.org

Travailler au Canada.

drapeau canada

Le taux de chômage est très différent selon les provinces mais dans certaines provinces il est inférieur à 4 %.

En 2020, il manquera un millions de travailleurs, selon Manpower Canada. Des travailleurs manuels, commerciaux, ingénieurs, financiers et ouvriers. Chaque province  a ses besoins spécifiques, dans l’Alberta par exemple, l’exploitation croissante du pétrole créera des oppportunités.

Le canada a un objectif de 260 000 immigrants en 2008. Pour obtenir un permis de travail temporaire, il faut, sauf exception, disposer d’une proposition d’embauche. Devenir résident permanent nécessite de remplir un certain nombre de critères liés à l’âge, la formation, la santé…

Alors prêts ? pour en savoir plus : www.amb-canada.fr , www.workingincanada.com/français ou www.cic.gc.ca.

Attention, il faut savoir que plus de 20 % des métiers sont réglementés: il faut être reconnu par un ordre professionnel pour les exercer. Par exemple, les infirmières, ingénieurs, éléctriciens et enseignants sont des professions réglementées.

Source : www.lexpansion.com

10 jobs en or … à l'étranger.

Les carrières internationales ont le vent en poupe.

Pour ceux qui visent les plus hautes responsabilités, c’est désormais incontournable…

Et pour ceux qui aspirent à la découverte, c’est encore la plus belle aventure…

Planète terre

Pour tous cela, voici une petite revue des jobs les plus recherchés dans le monde.

  1. Métiers manuels qualifiés (électricien, maçon, plombier…)
  2. Commercial
  3. Technicien, production (ingéniérie, maintenance…)
  4. Ingénieur
  5. Manager d’équipe
  6. Ouvrier
  7. Secrétaire,  assistant
  8. Chauffeur
  9. Financier et comptable
  10. Informaticien

Souce : enquête Manpower « talent shortage survey 2008 », réalisée auprès de 42500 entreprises dans 32 pays.

Stage. Conditions et indemnités.

Vous êtes stagiaire ?
Vous embauchez des stagiaires ?

Voici un bref rappel de conditions des stages (décret 31 janvier 2008, loi sur légalité des chances).

Indemnité.

Tout stagiaire de +3 mois doit être « indemnisé » à hauteur d’1/3 du SMIC, minimum, soit 436,29 euros bruts.
L’employeur est exonéré de charges à hauteur de cette indemnisation.

Durée.

Un stage ne peut excéder 6 mois, sauf accord de l’école.
Si l’employeur ou le stagiaire souhaite mettre fin au stage, il n’y a pas de préavis à respecter.

Risque.

Un stage doit être conclu afin de remplir un objectif de formation précis.
Concrètement, cela signifie qu’un stagiaire ne peut pas effectuer l’activité d’un salarié absent ou licencié.
S’il le fait, le risque est la requalification du stage en CDI.

Convention.

Une convention tripartite (contrat à 3) entre l’étudiant, l’entreprise et l’école est obligatoire.
L’employeur doit tenir à disposition de l’inspection du travail la liste des conventions de stage conclues.

Elle comporte 11 clauses que vous trouvez sur le site du Ministère du Travail, et ci dessous.

  1. La définition des activités confiées au stagiaire en fonction des objectifs de formation ;
  2. Les dates de début et de fin du stage ;
  3. La durée hebdomadaire maximale de présence du stagiaire dans l’entreprise. La présence, le cas échéant, du stagiaire dans l’entreprise la nuit, le dimanche ou un jour férié doit être indiquée ;
  4. Le montant de la gratification versée au stagiaire et les modalités de son versement (voir précisions ci-dessous) ;
  5. La liste des avantages offerts, le cas échéant, par l’entreprise au stagiaire, notamment en ce qui concerne sa restauration, son hébergement ou le remboursement des frais qu’il a engagés pour effectuer son stage ;
  6. Le régime de protection sociale dont bénéficie le stagiaire, y compris la protection en cas d’accident du travail dans le respect de l’article L. 412-8 du code de la sécurité sociale ainsi que, le cas échéant, l’obligation faite au stagiaire de justifier d’une assurance couvrant sa responsabilité civile ;
  7. Les conditions dans lesquelles les responsables du stage, l’un représentant l’établissement, l’autre l’entreprise, assurent l’encadrement du stagiaire ;
  8. Les conditions de délivrance d’une « attestation de stage » et, le cas échéant, les modalités de validation du stage pour l’obtention du diplôme préparé ;
  9. Les modalités de suspension et de résiliation du stage ;
  10. Les conditions dans lesquelles le stagiaire est autorisé à s’absenter, notamment dans le cadre d’obligations attestées par l’établissement d’enseignement ;
  11. Les clauses du règlement intérieur de l’entreprise applicables au stagiaire, lorsqu’il existe.

Emploi. Le marché toujours favorable…ou presque.

Au 1er trimestre 2008, la France comptait 18,184 millions de salariés et 70 000 emplois ont été créés.

Depuis 4 ans, on assiste au plein emploi des cadres (3,8% de chômage).

En effet, les volumes d’offres d’emploi sont en forte augmentation. Ainsi, au 2ème trimestre 2008, les offres d’emploi cadres ont augmenté de 44% par rapport à 2007.

A noter que chaque offre attire moins de candidats, signe d’une tension et d’une rareté croissantes des demandeurs d’emploi. En effet, une offre « cadre » attire en moyenne 40 candidatures (53 l’année précédente).

Au premier semestre, plus de 50% des entreprises ont embauché un cadre. Au second semestre la proportion devrait être de 44%.

Les candidats présentant 5-10 ans d’expériences sont ciblés en priorité, car du fait des incertitudes conjoncturelles, les entreprises préfèrent miser sur des profils directement opérationnels (82% des entreprises recruteuses souhaitent ce profil).

L’attrait pour les jeunes diplômés et en léger recul (-5 points vs 2007) ; seules 43% des entreprises qui prévoient d’embaucher souhaitent les intégrer.

  • Secteurs.

Banque / Assurance / Immobilier : Fort dynamisme avec 70% des entreprises de ce secteur prévoient de recruter (+13 points vs 2007).
Cependant, du fait des incertitudes conjoncturelles, les profils recrutés seront majoritairement des profils déjà opérationnels, notamment des commerciaux ou cadres d’exploitation. L’investissement sur les jeunes diplômés sera limité.

Conseil (Ingénierie / Audit / Conseil en gestion / informatique) : Baisse des embauches avec 54% des entreprises qui prévoient de recruter (en recul de 16 points vs 2007).
Les SSII résistent (84% d’entre elles souhaitent embaucher) et visent essentiellement les jeunes diplômés.

L’industrie et la construction : Perspectives stables avec 48% d’entreprises qui vont recruter.
Il s’agit en majorité de remplacement suite à des départs et donc de rajeunir la pyramide des âges. Les profils recherchés sont donc en général moins expérimentés.

Commerce / Transport : Pessimisme avec 25% des entreprises qui prévoient d’embaucher.
Les raisons de cette baisse des embauches sont liées à une activité stable ou en baisse, un faible turn-over et des priorités données à la promotion interne. A noter que la plus grande majorité des postes proposées seront des postes de commerciaux.

  • Les Fonctions les plus recherchées
  1. Informatique (25 150 offres au 2ème semestre),
  2. Marketing & commercial (15 547 offres),
  3. Recherche & développement (13 102 offres)
  • Les Fonctions en plus forte progression
  1. Recherche & Développement (+79% vs 2007)
  2. Communication / Création (+73% vs 2007)
  3. Services techniques (+70% vs 2007)

(Source Apec)

Emploi. 3 secteurs difficiles en 2008.

Ils étaient le moteur de la croissance française en 2007.
2008 est une année difficile.

  • Automobile

L’activité est en repli de -7,9% en mai, -2,9% en juin. Sur 12 mois, la baisse est de -3,2%.
Cette décroissance en France est notamment le reflet d’une politique de délocalisation dans de nombreux pays européens (Citroen C4 Picasso en Espagne, Renault Twingo en Slovénie)

  • Agroalimentaire

L’excédent commercial est de 6 milliards d’euros sur le 1er semestre 2008 (+7%).
Pourtant, la production agroalimentaire recule de -2,5% sur un an.
Les raisons : l’envolée des prix de production (+4,5%), les effets de change (faiblesse du dollar), et la forte médiatisation de la hausse des prix qui entraine des réticences et arbitrages des consommateurs.

  • Biens d’équipements

-1,2% en mai, -1% en juin.
Les baisses de commandes sont importantes. Surtout dans l’aéronautique (souffrant de la partite euro/dollar). Mais aussi dans les autres biens (mécanique, machines outils, électronique), ou les taux d’utilisation sont en baisse.

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