On parle de la difficulté de concilier la vie de famille et la vie professionnelle. Les mères qui travaillent connaissent bien cette souffrance. Mais pas seulement, les hommes aussi sont concernés bien sûr.
L’Observatoire de la Parentalité en Entreprise mobilise les entreprises sur le sujet, à travers la signature de la charte de la parentalité, et sa traduction en bonnes pratiques.
120 entreprises l’ont déjà signée. Elle a pour objectif d’inciter les entreprises à proposer aux salariés parents un environnement mieux adapté aux responsabilités familiales. Parmi les signataires, il y a des PME et des TPE, les grands groupes sont loin d’être les seuls à s’engager- voir la liste des signataires.
Pour aider les signataires à traduire leurs engagements en actions concrètes, l’OPE a lancé des groupes de travail et a identifié 4 catégories d’actions en faveur des salariés parents: les services facilitant le quotidien, le soutien financier, l’organisation du temps de travail et l’accompagnement RH & managérial.
Voila les pratiques issues des groupes de travail qui ont particulièrement retenu mon attention :
– Areva : abondement pour l’utilisation du compte épargne temps en congé parental, pour en savoir plus (lien vers l’article)
– Calyon s’associe à Filapi pour créer des centres de loisir pour les 0-3 ans, pour en savoir plus (lien vers l’article)
–Ernst & Young : un pédiatre à disposition des futures et jeunes mères, pour en savoir plus (lien vers l’article)
L’OPE intervient là où il y urgence. En effet, le 1er baromètre mené par l’OPE a révélé que « la conciliation des vies professionnelle et personnelle est un enjeu universel pour les salariés parents, 97% d’entre eux affirment que l’équilibre entre vie professionnelle et vie familiale est un sujet de préoccupation important et 72% d’entre eux considèrent que leur employeur ne fait pas beaucoup de choses pour les aider ». Le baromètre (volet 2) montre que les entreprises signataires sont pionnières en la matière, même s’il reste encore beaucoup à faire.
FokusLop
Good article, Thanks. my name Philip.